Mai 2010: « La femme du boulanger » de Marcel Pagnol
Quatrième de couverture: Ah ! Te voilà, toi ? Regarde, la voilà la Pomponnette... Garce, salope, ordure, c'est maintenant que tu reviens ? Et le pauvre Pompon, dis, qui s'est fait un mauvais sang d'encre pendant ces trois jours ! Il tournait, il virait, il cherchait dans tous les coins... Plus malheureux qu'une pierre, il était... Et elle, pendant ce temps-là avec son chat de gouttières... Un inconnu, un bon à rien... Un passant du clair de lune... Qu'est-ce qu'il avait, dis, de plus que lui?
Marcel Pagnol
Mon avis: Du pur Pagnol, donc du pur génie. Des personnages toujours aussi drôles, attachants, atypiques, qui respirent bon l'enfance de nos grands-parents, la lavande, la Provence, les parties de pétanque au soleil, les messes du dimanches matin, et les apéros au pastis. Lire "La femme du boulanger", c'est lire un ragot, et s'imprégner de l'atmosphère d'un village d'antan.
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