Janvier 2010 : "Contes" d'Hoffmann
Quatrième de couverture: « Alors Érasme, dans le délire de son désespoir d'amour, s'écria : "Faut-il donc que je te quitte ? S'il faut que je parte, que mon reflet reste en ta possession à jamais et pour l'éternité !" À peine eut-il prononcé cette imprécation que Giulietta couvrit ses lèvres de baisers brûlants ; puis elle se retourna et tendit avec ivresse les bras vers le miroir... Érasme vit son image avancer, indépendant des mouvements de son corps, il la vit glisser entre les bras de Giulietta, et disparaître avec elle... »
E.T.A HOFFMANN
Mon avis: Plusieurs nouvelles, plus ou moins courtes composées en plein cœur du romantisme allemand du XVIIIème siècle, mêlant musique et fantastique, deux éléments indicibles qui forment le pilier de l'écriture hoffmannesque. Certaines histoires sont intéressantes, d'autres franchement barbantes. Le style de l'auteur est intéressant mais l'ensemble est tout de même peu rythmé. Beaucoup d'ennui par moments, lors de cette lecture.
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